Article rédigè par david-Alexandre vianey.
Playa urbana
El Campello Muchavista
Si l’on survole la grande plage d’el Campello avec ses 4 km de sable, il y a la mer où l’eau est transparente, aux couleurs bleues turquoises et sa grande étendue de sable fin.
La vie à l’aube est un mouvement permanent, c’est au environ de 5h du matin que tout commence, de chaque jour qui passe.
Il y a tout d’abord sur la plage ceux qui font un bivouac de passage ou ceux qui n’ont pas pu aller plus loin après la fiesta de la nuit et les saisonniers qui restent sur leur lieu de travail (Chiringuito Beach Bar), par soucis d’économie.
Les agents techniques défilent de long en large avec les tracteurs, afin de damer le sable, pour commencer une nouvelle journée sans trace, les autres agents parcourent à pied la plage pour ramasser les déchets.
Les pécheurs sont encore présents, avant de replier dès les premiers rayons de soleil et les hommes aux détecteurs de métaux scrutent la plage au peigne fin, pour y trouver fortune.
Les activités sportives débutent vers 6h, du plus jeune au plus vieux ils se retrouvent très nombreux, en particulier pour la course à pied.
Sur l’eau les passionnés de paddle, profitent du beau lever de soleil, il y a aussi ceux qui prennent leur premier bain et les nageurs sportifs confirmés qui réalisent de longue distance équipés d’un flotteur de sécurité.
Les marcheurs longent le bord de l’eau pied nu et gèrent la discipline de la marche sportive.
C’est à l’aube et dans cet environnement, que le yoga et la méditation prennent tout leur intérêt.
Les photographes amateurs viennent pour capturer l’apparition du soleil orangé au-dessus de la mer au loin, à l’horizon et les professionnels font des shootings et profitent du décor d‘El Campello.
Les petits commerces commencent à ouvrir, le soleil est déjà bien présent et déjà chaud, les activités sportives du matin se terminent.
Il est 8h30, les gens s’installent en terrasse pour prendre leurs petits déjeuners,
Café, jus d’orange pressé, tartine à la tomate et huile d’olive.
La vie à l’aube sur les plages d’el Campello Muchavista,
David-Alexandre Vianey
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